Installé en octobre à l’entrée de l’église, il renforce le réseau d’appareils de secours dans la commune.
Depuis plus de quinze ans, la municipalité s’est engagée dans cette démarche, bien avant que la loi n’en impose la présence dans les bâtiments publics.
Désormais, en douze endroits de la commune, un DAE est disponible.
Huit d’entre eux relèvent de la commune : à l’ancien collège, le gymnase Jean-Roblin, au centre socio-culturel, au stade, au port de plaisance, au camping, à l’église et à la mairie.
Celui de la mairie peut être emprunté par les associations pour des événements extérieurs, sur simple demande à l’accueil.
Trois dépendent de la communauté de communes : au centre médico-social, au gymnase de la communauté de communes et à la maison de santé pluridisciplinaire François Rabelais, lui-même, co-financé par les professionnels de santé de la MSP.
Les sapeurs-pompiers qui dépendent du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) disposent également de leur propre équipement dans le véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV).
Les services techniques s’occupent de la mise en place du boîtier alimenté électriquement où se trouve l’appareil, tandis que la société Defibril s’occupe du contrôle annuel de ces appareils, pour s’assurer de leur bon fonctionnement.
Les défibrillateurs les plus anciens devront être remplacés progressivement, sous le contrôle de la commission municipale en charge de la sécurité.
« L’installation d’un DAE est envisagé sur le pôle scolaire de l’école primaire l’an prochain », précise Éric Bedu, adjoint en charge de la prévention.
L’ensemble des personnels de la commune reçoit une formation de sauveteur secouriste du travail et d’utilisation de ce type de matériel.
Le coût d’installation d’un appareil DAE s’élève à environ 2.500 euros.
Cet équipement peut sauver des vies. Savoir l’utiliser est donc important.
Regardez la vidéo ci-dessous qui en rappelle l’utilisation :